C’est un spectacle devenu familier (photo ci-dessus), ces derniers temps, dans les stands de l’écurie Mercedes-AMG Petronas F1, pendant un Grand Prix : Toto Wolff, le (super) big boss, est assis, regard sombre derrière ses nouvelles lunettes cerclées de noir, devant son écran, entouré de l’ancien pilote de F1 et de FE Jérôme d’Ambrosio – devenu directeur du développement des pilotes, et qui, c’est certainement une coincidence, porte les mêmes lunettes que le patron – et le pilote de réserve, Mick Schumacher.
Seul Toto est assis sur une chaise, les deux autres sont debout, légèrement derrière lui, respectueusement, car l’espace est compté dans un stand de F1. Jérôme apprend, aux côtés du maître des lieux, les techniques de management nécessaires à un rôle encore plus important à l’avenir, qui sait ? Mick Schumacher, de son côté, essaye d’accumuler de l’expérience dans un top-team, en vue de trouver, avec l’aide de Wolff, un volant à plein temps en F1 en 2024.
Ce qui me frappe, c’est que personne ne semble avoir la permission de sourire (photos ci-dessus et ci-dessous), ou ne semble vouloir en prendre la liberté, sauf évidemment quand le big boss le fait… C’est un business sérieux, la Formule 1, nous dit-on…
Alors oui, bien sûr, les enjeux sont énormes, le stress aussi, mais que diable, souvenez-vous messieurs, que ceci est un sport, un spectacle, un divertissement avant tout,… alors souriez, vous avez les plus beaux métiers du monde !
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