Une ascension météorique
En 1976, à l’âge de 24 ans, Nelson Piquet remportait le championnat brésilien de Formule Vee. Sur les conseils du double champion du monde brésilien Emerson Fittipaldi, Piquet traversait l’Océan Atlantique pour courir en Europe.
Les succès ne tardèrent pas à venir, et Piquet au volant de sa Ralt-Toyota, remportait 13 victoires en Formule 3 en 1978, battant le record de victoires jusque-là détenu par Jackie Stewart.
Ces performances ne manquaient pas d’attirer l’attention des patrons d’écuries en Formule 1, et cette même année, sans passer par la Formule 2, Nelson faisait ses débuts dans la catégorie reine avec l’écurie Ensign de Mo Nunn en Allemagne, où était contraint à l’abandon en course.
Il négociait alors un accord avec Bob Sparshott pour disputer trois Grand Prix sur une McLaren M23 engagée par BS Fabrications. Piquet faisait excellente impression en Italie (photo ci-dessous) où pas moins de cinq McLaren se retrouvaient sur la grille de départ, et où il terminait neuvième.
Bernie Ecclestone, propriétaire de l’écurie Brabham, réagissait vite et engageait une troisième Brabham (aux côtés de celles de Lauda et Watson) pour Piquet pour le Grand Prix du Canada (photo principale), dernière manche de la saison, et signait le Brésilien pour le long terme. Un champion était arrivé.
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Cc contente de vous retrouver pour cette nouvelle saison de formule 1!
Aujourd’hui, c’est le beau-fils de Nelson Piquet, c’est-à-dire Max Verstappen, qui se fait remarquer. Il a rendu l’issue de la course incertaine. Il a été l’embûche sur le chemin vers la première victoire, en cette saison, du sextuple champion du monde Lewis Hamilton.
Il a l’air plus menaçant qu’avant, Verstappen! Je sens que nous n’allons pas nous ennuyer cette année.
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